Pourrait-on être contre la “Restitution” du montant négocié en 1825 sous la présidence de Jean Pierre Boyer en dédommagement aux colons pour la perte de leurs propriétés foncières? Certes non.
Ces dernières décennies de mauvaise gouvernance et de corruption abjecte ont comme éteint tout espoir de bâtir une nation indépendante, libre et prospère.
Aux Nations Unies, le président Leblanc a prononcé dans l’ensemble un beau discours.